Photographie prise à Saint-Florent-le-Vieil
Le 27 septembre je suis arrivé à Orléans, le point le plus au nord de mon périple vers le Mont Gerbier de Jonc.
Compostelle, Via Francigena et autres grandes marches
Photographie prise à Saint-Florent-le-Vieil
Le 27 septembre je suis arrivé à Orléans, le point le plus au nord de mon périple vers le Mont Gerbier de Jonc.
Le 7 septembre je serai à Guérande pour commencer à remonter la Loire à pied jusqu’à sa source au Mont Gerbier de Jonc, soit environ 1 200 km.
Début septembre je partirai de Guérande pour remonter la Loire à pied jusqu’à sa source au Mont Gerbier de Jonc, soit environ 1 200 km.
Outre découvrir ces paysages que j’avais entre-aperçus lors de mon périple à Compostelle par le Camino Norte, je voudrai justement ‘sortir des Chemins’, essayer de me passer de leur confortable infrastructure.
Cette fois j’aimerai aussi enfin réussir à prendre mon temps, ne pas être irrépressiblement happé par le but à atteindre, prendre le temps de savourer ce qui m’entoure et, s’il le désirent, rencontrer ceux de mes lecteurs qui vivent à proximité du tracé du GR 3, qu’ils aient l’intention ou non de m’héberger pour une nuit.
Si vous partagez cette envie n’hésitez pas à me contacter.
Je serais donc à Mours-Saint-Eusèbe, commune limitrophe de Romans-sur-Isère dans la Drôme, le vendredi 3 avril, pour animer cette conférence-débat sur le sujet « Compostelle : pèlerinage ou randonnée ?« .
J’y évoquerai l’histoire, ou plutôt la légende, de Saint-Jacques de Compostelle avant de parler de ma propre expérience du Chemin pour ouvrir le débat.
Venez nombreux !
A bientôt.
Pierre ALGLAVE
Nouvelle année = un moral d’acier pour tenir toutes ces bonnes résolutions prises imprudemment, la première étant d’avancer mon récit sur ce voyage au Tibet.
La progression n’est pas fulgurante, mais elle est là !
Donc voici un nouvel épisode : l’arrivée à Lhassa.
Pour en profiter le plus simple est de vous rendre ICI où sont répertoriés toutes les étapes de ce voyage.
Bonne lecture et n’hésitez pas à me contacter ou à commenter les articles.
J’ai enfin trouvé le temps de reprendre le récit de ces impressions népalaises.
Merci pour votre patience ;o)
C’est ICI
Encore une fois Jean Claude Lordier nous invite à partager son carnet de voyage lors de sa Grande Traversée des Vosges, du Jura, et des Alpe : 46 étapes, du 25 juin au 11 août 2014. de Wissembourg (Bas Rhin, et frontière allemande) à Menton (Alpes Maritimes).
C’est ICI !
Me voilà revenu de ce trek au Tibet via Katmandou.
Ma dernière expérience d’un trek en altitude, au Pérou à 4400 m, m’avait laissé un mauvais souvenir : épuisé, sans force, j’avais du m’improviser cavalier pour finir deux étapes…
Cette fois-ci, étais-je mieux entrainé, plus en forme, la période d’acclimatation était-elle mieux étudiée ?… je suis monté à 5300 m au col « Lasar La » non pas sans effort car à cette altitude même lacer ses chaussures demande beaucoup d’énergie, mais, voilà c’est fait. D’accord ce n’est pas l’Everest (que j’ai aperçu du camp de base), rien d’une performance d’alpinisme, plutôt genre montagne à yacks mais à 5000 m.
Mis à part le côté sportif de ce voyage j’ai découvert deux pays, le Népal à Katmandou et le Tibet : inoubliables !
Nous avons tous des clichés en tête et une fois sur place ils explosent, la réalité s’impose, quelques fois en plus extraordinaire que prévu, quelques fois en pire qu’imaginé.
Sans faire un carnet de voyage je vais tenter de vous confier au fil des jours (… ou des semaines, il faudra être patient) mes impressions de voyage : c’est ICI.
Pour en savoir plus concernant les photos :
Ça y est ! Mercredi 30 août, jour de la journée de l’Amitié, j’étais chez Bibliocratie pour signer les dédicaces de mon livre, enfin je veux dire de vos livres Cheminements.
Vous n’avez pas la vôtre ! Peut-être avez vous oublié de me la demander, mais plus probablement dans un moment de fatigue, pour ne pas dire d’hébétement, j’ai sauté une ou plusieurs lignes de ma liste. Je sais c’est honteux ! Mais puisqu’il faut bien désigner un coupable ce sera Paris. Et oui, quatre heures d’effort à martyriser mon poignet plus habitué au maniement de la souris qu’à celui du stylo, par une forte chaleur qui avait nécessité l’ouverture de toutes les fenêtres pour faire circuler un peu d’air malheureusement accompagné de toutes les rumeurs de Paris (marteau piqueur, voiture, bus…). Bibliocratie conscient du drame qui se jouait m’a généreusement hydraté, mais cela n’a pas suffit, comme pour l’altitude il aurait fallu prévoir des paliers d’acclimatation…
Que ceux que mon inaptitude aux zone polluées a frustrés m’envoient un petit mot, j’essayerai de réparer mes absences.
De retour à la campagne j’ai prudemment continué mon hydratation : enfin il était là ! Enfin je l’avais dans les mains ! Ça s’arrose !
Bonne lecture à tous et merci encore pour votre participation à cette aventure.