Remonter la Loire en suivant le GR 3

Remonter la Loire par le GR 3

Trajet du GR 3Début septembre je partirai de Guérande pour remonter la Loire à pied jusqu’à sa source au Mont Gerbier de Jonc, soit environ 1 200 km.

Outre découvrir ces paysages que j’avais entre-aperçus lors de mon périple à Compostelle par le Camino Norte, je voudrai justement  ‘sortir des Chemins’, essayer de me passer de leur confortable infrastructure.

Cette fois j’aimerai aussi enfin réussir à prendre mon temps, ne pas être irrépressiblement happé par le but à atteindre, prendre le temps de savourer ce qui m’entoure et, s’il le désirent, rencontrer ceux de mes lecteurs qui vivent à proximité du tracé du GR 3, qu’ils aient l’intention ou non de m’héberger pour une nuit.

Si vous partagez cette envie n’hésitez pas à me contacter.

Remonter la Loire par le GR 3

Compostelle : pèlerinage ou randonnée ?

Compostelle ConférenceJe serais donc à Mours-Saint-Eusèbe, commune limitrophe de Romans-sur-Isère dans la Drôme, le vendredi 3 avril, pour animer cette conférence-débat sur le sujet « Compostelle : pèlerinage ou randonnée ?« .

J’y évoquerai l’histoire, ou plutôt la légende, de Saint-Jacques de Compostelle avant de parler de ma propre expérience du Chemin pour ouvrir le débat.

Venez nombreux !

A bientôt.

Pierre ALGLAVE

Impressions tibétaines – arrivée à Lhassa

Quartier du Barkhor à Lhassa
Quartier du Barkhor à Lhassa

Nouvelle année = un moral d’acier pour tenir toutes ces bonnes résolutions prises imprudemment, la première étant d’avancer mon récit sur ce voyage au Tibet.

La progression n’est pas fulgurante, mais elle est là !

Donc voici un nouvel épisode : l’arrivée à Lhassa.

Pour en profiter le plus simple est de vous rendre ICI où sont répertoriés toutes les étapes de ce voyage.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me contacter ou à commenter les articles.

Bonne année 2015

Palais du Potala - LhassaHappy new year,
Ein gutes neues Jahr,

Feliz año nuevo,
Buon anno,

Szczesliwego nowego roku,
Gelukkig nieuwjaar,
Bonne année

Tous mes vœux pour cette nouvelle année. Qu’elle vous apporte, bonheur, santé, prospérité et bien sûr de beaux Cheminements !

Trek au Tibet via Katmandou au Népal

Temple de Swayambhunath à Katmandou
Décoration du dôme de la Stupa d’une fleur de lotus à l’aide d’une teinture à base de safran – Temple de Swayambhunath à Katmandou

Me voilà revenu de ce trek au Tibet via Katmandou.

Ma dernière expérience d’un trek en altitude, au Pérou à 4400 m, m’avait laissé un mauvais souvenir : épuisé, sans force, j’avais du m’improviser cavalier pour finir deux étapes…

Cette fois-ci, étais-je mieux entrainé, plus en forme, la période d’acclimatation était-elle mieux étudiée ?… je suis monté à 5300 m au col « Lasar La » non pas sans effort car à cette altitude même lacer ses chaussures demande beaucoup d’énergie, mais, voilà c’est fait. D’accord ce n’est pas l’Everest (que j’ai aperçu du camp de base), rien d’une performance d’alpinisme, plutôt genre montagne à yacks mais à 5000 m.

Mis à part le côté sportif de ce voyage j’ai découvert deux pays, le Népal à Katmandou et le Tibet : inoubliables !

Monastère de Rongbuck
Monastère de Rongbuck (5000 m) peu avant le camp de base de l’Everest (5200 m)

Nous avons tous des clichés en tête et une fois sur place ils explosent, la réalité s’impose, quelques fois en plus extraordinaire que prévu, quelques fois en pire qu’imaginé.

Sans faire un carnet de voyage je vais tenter de vous confier au fil des jours (… ou des semaines, il faudra être patient) mes impressions de voyage : c’est ICI.

Pour en savoir plus concernant les photos :

Cheminements : ça s’arrose !

Ça y est ! Mercredi 30 août, jour de la journée de l’Amitié, j’étais chez Bibliocratie pour signer les dédicaces de mon livre, enfin je veux dire de vos livres Cheminements.

Vous n’avez pas la vôtre ! Peut-être avez vous oublié de me la demander, mais plus probablement dans un moment de fatigue, pour ne pas dire d’hébétement,  j’ai sauté une ou plusieurs lignes de ma liste. Je sais c’est honteux ! Mais puisqu’il faut bien désigner un coupable ce sera Paris. Et oui, quatre heures d’effort à martyriser mon poignet plus habitué au maniement de la souris qu’à celui du stylo, par une forte chaleur qui avait nécessité l’ouverture de toutes les fenêtres pour faire circuler un peu d’air malheureusement accompagné de toutes les rumeurs de Paris (marteau piqueur, voiture, bus…). Bibliocratie conscient du drame qui se jouait m’a généreusement hydraté, mais cela n’a pas suffit, comme pour l’altitude il aurait fallu prévoir des paliers d’acclimatation…

Que ceux que mon inaptitude aux zone polluées a frustrés m’envoient un petit mot, j’essayerai de réparer mes absences.

De retour à la campagne j’ai prudemment continué mon hydratation : enfin il était là ! Enfin je l’avais dans les mains ! Ça s’arrose !

Bonne lecture à tous et merci encore pour votre participation à cette aventure.